lundi 16 août 2010

Venus dans la presse pour faire fortune, beaucoup finissent dans la mendicité

Venus dans la presse pour faire fortune, beaucoup finissent dans la mendicité.
Le journalisme est, selon wikipédia, l'activité qui consiste à collecter, rassembler, vérifier et commenter des faits pour les porter à l'attention du public à travers les médias.mais de nos jours, la presse en Afrique rime tres souvent avec la mendicité du fait du gout tres prononcé de certains journalists pour l’argent, le materiel. Une seule raison valuable: le salaire exécrable. Le “Communiqué final”. Ainsi surnomment – ils le perdiem recu après chaque reportage ou point de presse. Il est meme devenu une coutume pour tous ce qui organize une conference ou un quelconque point de presse, de prevoir un budget official pour la presse. Alors chaque journaliste viendra mentionner son nom, son organe et son contact sur une feuille dument concue pour le recencement. Juste après l’événement, s’en suit l’appel et les repondants recuperent leurs envelope en émargeant formellement. Le hic est que parfois l’on assiste a des bagarres rangées lors du partage du “communiqué final” parce qu’un tel out el n’aurait pas recu sa part, n’aurait pas prelablement mentionné son nom avant de faire le rang, ou meme est un “rat”. En effet le rat, au sens propre, est cet animal sauvage concu comme le destructeur des produits agricoles. Les “rats” dans le milieu de la presse Ivoirienne designent les usurpateurs du titre de journaliste juste pour beneficier des perdiems. Ces derniers maitrisent mieux les journaliste dont ils profitent de l’absence pour se reclamer leurs organes. Et meme parfois le papier du compte rendu proportionnel au la somme recue. Chaque jour est une quete perpetual de la recherché du perdiem.

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